Si je comprends votre intention, je crains que les DIRRECTE, aujourd'hui surchargées en raison de la mise en œuvre des dispositifs d'activité partielle, supportent mal la pression supplémentaire. Cela risque en outre de s'avérer inutile dans un contexte de ressources humaines limitées. Je ne suis pas sûr qu'elles pourront remplir un tel objectif, d'autant qu'elles vont être encore très sollicitées dans la période complexe qui s'annonce. Dans le souci de lisser la charge administrative, j'émets un avis défavorable sur ces amendements.