Bien sûr, il s'agit d'une question nationale, qui ne concerne pas uniquement les habitants des zones concernées, mais les députés de ces territoires s'émeuvent de ne pouvoir participer à nos débats. Certes, je me suis fait leur porte-parole, mais je conclurai par les mots de mon collègue : « la vie des Polynésiens vaut mieux que cela ».