Je soutiens l'amendement d'Antoine Herth. Il faut un signal fort en faveur de l'élevage, qui est l'objet d'une bataille idéologique auprès des consommateurs et des populations, dont on connaît l'impact économique. L'amendement de la rapporteure ne recouvre pas totalement le champ de celui d'Antoine Herth. Certes, on peut faire entrer beaucoup de choses dans les externalités environnementales – les effets sur l'eau, les sols et l'air, par les gaz à effet de serre – mais l'amendement CS841 y ajoute la prise en considération de l'aménagement du territoire, l'entretien du paysage, qui renvoie aussi à l'attractivité touristique des territoires. L'amendement CS841 complète celui de Mme Bergé, sans s'y opposer.