Cet amendement, travaillé avec l'association Climat'Optimistes, tend à apporter une reconnaissance à l'engagement des élèves et des étudiants. En effet, en 2019, plus de 200 000 jeunes ont manifesté en France leur volonté de répondre à l'urgence climatique, et nombre d'entre eux ont alors décidé de s'investir dans des mouvements ou des associations de jeunesse pour montrer qu'il est possible d'agir au quotidien pour un environnement sain. Toutefois, rares sont les universités qui considèrent l'engagement étudiant comme une partie structurante et intégrante de l'enseignement supérieur. Les dispositifs de reconnaissance de l'engagement étudiant gagneraient à être élargis à l'ensemble des universités, harmonisés à l'échelle nationale, et étendus aux écoles. La généralisation de l'attribution de points supplémentaires dans la moyenne générale des élèves et des étudiants inciterait davantage de jeunes Français à rejoindre des organisations engagées en faveur de l'environnement et du développement durable.