À l'article 2, nous avons inscrit les enjeux liés à l'environnement et au développement durable dans l'éducation des enfants, ce qui est parfaitement normal. L'article 3, en revanche, a une portée extrêmement restreinte, car les comités en question s'occupent pour l'essentiel de la lutte contre l'exclusion et des phénomènes de violence et de décrochage scolaire, ce qui ne concerne qu'une partie des élèves. Dans quelle mesure fait-on avancer la cause environnementale si l'on ne cible pas l'ensemble des élèves ? Tout au contraire, ce faisant, vous réduisez de manière drastique la portée de la mission définie à l'article 2.