Enfin, je tiens à vous rappeler les termes du préambule de la Convention de Genève de 1951 : « l'Organisation des Nations unies a, à plusieurs reprises, manifesté la profonde sollicitude qu'elle éprouve pour les réfugiés et [… ] s'est préoccupée d'assurer à ceux-ci l'exercice le plus large possible des droits de l'homme et des libertés fondamentales ».
Nous souhaiterions vivement que la France, et la représentation nationale à travers ce débat, honore cet engagement international et qu'elle fasse preuve de solidarité et d'humanité. C'est pourquoi, mesdames, messieurs les députés, nous vous demandons de voter cette motion de rejet.