Pour avoir été vice-présidente de l'OPECST, je confirme que l'on y traite de sujets scientifiques pointus. Je pense plus souhaitable de confier l'évaluation des lois aux commissions ou aux missions parlementaires. Ainsi, l'OPECST a été saisi sur la question du glyphosate afin d'informer le Parlement, mais il n'a pas été chargé d'évaluer la loi.