L'amendement que nous avons déposé est lié à l'angoisse suscitée par un arrêt, rendu en 2017, dans lequel le Conseil d'État a considéré qu'il fallait à la fois un sol hydromorphe et une végétation hygrophile pour que la qualification de zone humide soit retenue. J'ai également été convaincue par Mme Tuffnell mais nous restons vigilants.