Le biais dans l'interprétation de la définition des zones humides a été levé, je le confirme, par la loi créant l'Office français de la biodiversité – cela faisait d'ailleurs suite, en partie, à l'excellent travail de Mme Tuffnell. Nous avons maintenant une définition qui tient la route. Je salue par ailleurs Jérôme Bignon, qui a beaucoup travaillé, lui aussi, sur ce sujet. Ces amendements peuvent être retirés puisqu'ils sont satisfaits.