Si l'on gardait les mandats d'incorporation actuels, nos besoins s'élèveraient à 160 000 tonnes en 2025, tandis que les capacités de production françaises atteindraient 170 000 tonnes dès 2024. On doit pouvoir étendre les mandats d'incorporation fixés pour 2022, 2025 et 2030, au gré du développement de la filière française et européenne.