L'enjeu n'est pas de réduire de 25 % la consommation en carburant des avions et, ce faisant, de polluer moins vite : c'est en valeur absolue qu'il ne faut pas ajouter de CO2 dans l'atmosphère. Je vous invite tous à lire l'appel des 700 étudiants du secteur de l'aéronautique et les prises de position des salariés et des syndicats de cette filière, qui plaident l'urgence à diversifier et montrent que notre situation de mono-industrie nous rend extrêmement vulnérables.