Si l'on adopte cette interdiction, ne risque-t-on pas d'enclaver des territoires situés à moins de deux heures et demie de train, dans le cas où ils seraient frappés par une catastrophe naturelle qui bloquerait les voies ferrées ? J'ai le souvenir d'inondations qui, durant une semaine, ont rendu l'autoroute impraticable entre Montpellier et Nîmes. Ce sont des réalités qui ne doivent pas être oubliées.