On progresse, mais je voudrais revenir sur la question du vrac, dont nous avons débattu au début de l'examen de ce projet de loi. En imposant une surface minimale dédiée au vrac dans les commerces, le risque est de voir les grands groupes évincer les autres acteurs : il faudrait qu'une part du vrac que nous installons dans les supermarchés leur soit réservée.