M. Aubert n'a rien compris à l'ISF « climatique ». Il n'est pas question de l'affectation des recettes mais de la prise en compte d'une double échelle : celle de l'ISF tel qu'il existait avant que cette majorité ne le supprime et celle qui intègre l'empreinte carbone du patrimoine financier. Le capital investi dans les énergies les plus polluantes doit être plus taxé.