Lors de son audition, M. Henri Peña-Ruiz nous a expliqué que tout cela venait du fait qu'on ne payait plus des gens pour accompagner les sorties scolaires. Or je n'ai jamais vu des fonctionnaires de l'éducation nationale ou des salariés communaux assurer cette mission.
M. le président de l'Association des maires de France a considéré quant à lui qu'il suffisait d'embaucher des gens. Or il proteste souvent, y compris dans cette enceinte, contre les charges supplémentaires que les décisions de l'État ou du législateur imposent aux communes !
On peut défendre tous les points de vue mais on ne peut pas dire que faire appel à des bénévoles constitue un recul du service public.