Monsieur Ciotti, on comprend et l'on peut partager votre souhait de lutter contre ce que vous pensez définir comme étant le séparatisme islamiste, parfois avec raison – le Président de la République lui-même l'a fait. Ce séparatisme conduit, car c'est une différence de degré, non de nature, à des attentats. Vous dites que ce n'est pas aux cris de « Jésus, reviens ! » que l'on a commis 270 attentats. Certes, mais dites-moi lesquels ont été commis par des femmes voilées. Il y a donc des limites à la simplicité de l'argument.