Vous renvoyez mes amendements au domaine réglementaire ; pourtant, sur d'autres points, vous vous êtes autorisés à inscrire dans la loi des dispositions tout aussi discutables à cet égard.
On doit pouvoir discuter dans les entreprises, dans les administrations, dans les établissements scolaires, de la souffrance des collègues. Il faut organiser la discussion de la même façon qu'on le fait pour un problème sanitaire, et en préservant l'anonymat, peut-être au sein du comité social et économique. Sans cela, on ajoute des problèmes au problème. C'est important notamment dans l'éducation nationale, car les professeurs ont parfois le sentiment qu'ils n'ont pas eu la bonne attitude pédagogique et n'osent pas en parler. Il faut vraiment avancer concrètement sur ce sujet.