Tout dépend de qui vous visez, madame la députée. S'il s'agit d'un individu recensé au FIJAIT, il ne pourra pas être recruté ; s'il est déjà en poste, il perdra sans doute son emploi ; s'il s'agit d'un individu « signalé », nous avons un problème d'automaticité, car le fait de figurer dans un fichier de signalement n'est pas toujours synonyme de radicalisation. Certes, il ne faut pas laisser les signes faibles prospérer ; comme l'a dit la rapporteure, avec le SNEAS et la commission mise en place par la loi SILT la fonction publique a des outils pour se séparer de ces fonctionnaires.