Il n'est pas question d'instaurer une police de la pensée mais d'observer ce qui se fait. Je ne pense pas que M. Pupponi veuille absolument que les femmes et les hommes ne soient pas séparés et que la police municipale vienne vérifier si tel est bien le cas. La question est de savoir si la présence d'un marqueur physique de séparation est ou non acceptable. Je suis d'accord avec lui pour considérer que le texte n'intègre pas ce genre de disposition.