Monsieur le président, j'ai pris bonne note de votre dernière observation. Je me permets d'indiquer que le Parlement sait être au moins aussi sage que le Gouvernement. S'agissant de l'amendement, en cohérence avec mes précédents avis, je considère qu'il faut s'en tenir aux principes généraux. La liberté de conscience découle du principe de liberté. Avis défavorable.