Nous sommes défavorables à l'amendement, mais pas sur le fond, l'entrisme et la radicalisation au sein des universités nous alertant également.
Pourquoi cette opposition ? Tout d'abord comment vérifierons-nous que les formations en question ont vraiment eu lieu et par quels opérateurs elles ont été menées ? Cette dernière question nous a notamment conduits à créer des référents laïcité dans les administrations et à confier au préfet Pierre Besnard une mission flash de deux mois visant à déterminer un calendrier permettant la formation de 100 % des agents publics.
La question du financement de telles formations se pose également.