Il en est de même de mon amendement CS66, que l'on pourrait appeler « amendement Mila », du nom de cette jeune fille qui a vécu une situation absolument terrifiante, dont la presse s'est fait l'écho cette semaine, et qui est désormais emprisonnée chez elle, interdite de sortir, d'étudier – de vivre. Il est indispensable que nous adressions un message fort de soutien à tous ces jeunes qui sont harcelés sur les réseaux sociaux et la proie de la haine la plus barbare qui soit.
Mme la rapporteure ayant jugé cet amendement intéressant, elle l'a repris dans les mêmes termes, y compris pour l'exposé sommaire ; quoique surprise du procédé, j'en suis honorée et y vois un signe de bon augure.