Je ne pense pas non plus qu'un rapport soit un outil adapté pour traiter de ce problème, qui est tout à fait sérieux. Même si l'on arrive généralement à découvrir qui se cache derrière un pseudonyme, on ne peut pas réparer le traumatisme causé par un message de haine. Puisque le Gouvernement a engagé un travail sur cette question, laissons-le le mener à bien. J'aurais préféré que notre collègue retire son amendement ; si elle le maintient, le groupe La République en marche votera contre, malgré toute l'amitié que nous lui portons.