Je rappelle que le FIJAIT ne recense pas seulement les personnes condamnées pour des crimes ou délits terroristes, mais aussi certains individus mis en examen pour ces motifs et certains auteurs d'apologie d'acte de terrorisme, dont les propos, pour affreux qu'ils soient, relèvent du délit d'opinion et non du code pénal. Il serait opportun d'appliquer ici des dispositions similaires à celles que nous avons adoptées pour la fonction publique et que nous pourrions étendre demain à d'autres domaines.