Vous me permettrez de m'étonner de votre réponse, madame la rapporteure. J'avais cru comprendre que, par rapport à certaines pratiques religieuses, on faisait en sorte de réduire tout ce qui était assujettissement des femmes. En revanche, des établissements peuvent continuer à penser au XXIe siècle qu'il faut que filles et garçons soient séparés et qu'il y ait des discriminations de fait basées sur le sexe. C'est assez étonnant pour une loi qui prétend renforcer les principes républicains, dont l'égalité homme‑femme devrait être l'un des socles.