Je partage l'avis de M. Frédéric Petit. Il manque, dans le texte, tout le volet relatif à la réhabilitation des quartiers et à la disparition de l'éducation populaire. Le jour de l'assassinat de Samuel Paty, je regardais un documentaire avec Gilles Legendre sur Marseille, où l'on voyait que les quartiers avaient été abandonnés, qu'il n'y avait plus d'éducation populaire et que le religieux avait pris la place des associations d'éducation populaire. Il reste le sport, certes, mais il est de plus en plus dévoyé par des mouvements séparatistes, malheureusement.