Il ne m'appartient pas d'en juger ; cela relève de la mission de contrôle du Gouvernement. Au reste, si rien n'est fait, le producteur sera soumis à une double taxation, et exonérer l'intégralité de la production n'est pas conforme au droit européen. Le choix est donc assez limité.
Nous proposons de codifier la pratique actuelle – M. le rapporteur général pourra compléter mes propos – , qui représente l'équilibre légalement acceptable entre la double taxation et l'exonération intégrale, qui ne serait pas conforme au droit européen.