Il convient de renforcer le droit de choisir librement sa religion sans avoir à craindre pour sa vie, en promouvant le principe de la liberté religieuse et en luttant contre le séparatisme islamique, qui se caractérise par la privation de liberté religieuse puisque l'apostasie est interdite, et elle est, qui plus est, plus sévèrement punie lorsqu'elle est le fait d'une femme.
Nous proposons donc de punir d'un an de prison et de 75 000 euros d'amende toute atteinte à la liberté de conscience lorsqu'elle est commise à l'encontre du conjoint ou d'un mineur, c'est-à-dire par une personne susceptible d'exercer un ascendant moral ou une autorité sur la personne.