Je ne suis pas certain qu'il faille continuer à défendre la suppression de cet article, monsieur Corbière. Je suis sûr que, comme moi et n'importe quel républicain, vous n'aimeriez pas entendre « mort aux mécréants » dans un lieu de culte. Cependant, selon la loi en vigueur, le ministre de l'intérieur ne pourrait pas le fermer pour cette raison, ce qui est un peu dommage.