Je suis favorable à la suppression de l'article, dont la rédaction me semble trop coercitive pour permettre la préservation de l'intérêt supérieur de l'enfant – particulièrement des filles, en l'espèce – à laquelle nous sommes tous attachés. La pratique sportive est quelque chose d'important. Monsieur le ministre, je rejoins votre préoccupation. Quelle solution proposer ? La remise d'un rapport dans six mois me semble un peu tristounet. En tout état de cause, nous devons acquérir la connaissance et la maîtrise du phénomène, dans l'intérêt supérieur de l'enfant.