Depuis que la presse industrielle existe, elle vit de publicité. C'est grâce aux recettes publicitaires et à celles des ventes que les salaires des journalistes sont versés. Je ne vois pas, dans la mesure où il n'y a pas de lien direct entre ce qui est dit ou écrit et le versement d'une redevance par les GAFAM aux éditeurs qui en reversent à leur tour une partie aux journalistes, pourquoi il y aurait de compromission.