Je partage la position de Monsieur Da Lage et de Monsieur Aiquel. Nous avons souvent été auditionnés par la Représentation nationale sur les aspects monopolistiques de certains grands groupes. Nous avons rarement été complètement entendus. Pour autant, le partage du droit voisin avec les journalistes ne constitue pas une révolution. En revanche, la concentration des médias pose plus de questions.