Je soutiens bien entendu l'amendement, mais je tiens à insister sur la nécessité d'harmoniser les réglementations nationales. Je m'intéresse, par exemple, à la filière du « rétrofit » dans le secteur automobile. La réglementation française est très bonne en la matière, mais elle diffère de celle des autres États membres, de sorte qu'une entreprise française de « rétrofit » – mais c'est également vrai pour une entreprise italienne ou allemande – ne peut pas vendre ses véhicules dans un autre pays de l'Union. La Commission européenne devrait assurer une veille technologique sur ces sujets.