Cette réflexion s'inscrit dans le prolongement des travaux que nous avions menés dans le cadre de l'examen de la loi AGEC. Nous nous étions battus pour maintenir la durée de la garantie légale à deux ans et définir des mécanismes permettant de favoriser l'économie de la réparabilité plutôt que les remplacements de produits à foison. Je soutiens pleinement l'amendement de la commission des affaires économiques.