Pour tenir compte de l'évolution des technologies, cet amendement vise à élargir la liste des énergies propulsives ouvrant droit au suramortissement. Il est proposé de prendre en considération les émissions de CO2, d'oxydes de soufre, d'oxydes d'azote et de particules fines et ultra-fines. Cela me donne l'occasion de saluer le travail accompli par notre collègue Jean-Luc Fugit sur la qualité de l'air, qui constitue un enjeu de taille pour notre pays.