À l'évidence, ce mandat aura été celui de l'affichage. Du reste, nombre des textes qui viennent d'être évoqués soulignent cette volonté de dire plutôt que de faire.
Prenons par exemple celui sur la fin de l'exploitation des hydrocarbures, qui a été vendu et survendu : en fait celle-ci est prévue pour 2040, et elle ne représente que 1 % de la consommation française ! Il aurait été plus utile de faire baisser la consommation plutôt que d'arrêter une telle production qui était une solution, notamment pour la Guyane.
Rappellons enfin la politique brouillonne en matière de nucléaire et un certain nombre d'actions diplomatiques manquées. Ainsi, la COP26 n'a pas été à la hauteur de nos espérances.