Cette crise a été un révélateur des rôles sociaux essentiels assurés par des métiers très féminisés. Ces métiers sont pourtant assez peu reconnus parce qu'ils ont toujours été pratiqués par des femmes. Monsieur le secrétaire général, alors que la crise impose à la société de se réinventer, que proposez-vous pour revaloriser ces métiers féminisés ? Seriez-vous prêt à une refonte globale de la cotation des métiers et des compétences pour en finir avec les discriminations de genre de notre société ?