Je me félicite de ces tentatives de définition car on voit fleurir, partout dans le monde, mais aussi en France, des territoires qui sont achetés pour devenir des sanctuaires, où toute intervention humaine est interdite. J'ai écrit à deux reprises au ministère de la transition écologique pour lui demander de préciser ce qu'étaient ces sanctuaires et je n'ai jamais eu de réponse. Je suis donc heureux que l'on puisse, à l'occasion de l'examen de ce texte, préciser leur définition. Il faut mettre fin à cette pratique qui consiste à créer des sanctuaires en pleine nature, où la présence de l'homme est totalement interdite.