Je salue l'innovation dont nos commerçants ont su faire preuve. La gestion de la crise étant territoriale, les DDFIP, directions départementales des finances publiques, pourraient-elles disposer d'une marge de manœuvre dans l'étude des dossiers, pour évaluer si certaines entreprises dont le code NAF ne permet pas d'intégrer les listes S1 et S1 bis pourraient malgré tout bénéficier de ces aides ? Je pense notamment à une entreprise de ma circonscription qui fait du conseil en optimisation de coûts des voyages d'affaires, qui est enregistrée comme cabinet de conseil et n'y a donc pas accès.