Monsieur Dive, nous n'allons pas revenir sur l'ensemble de la loi EGALIM, d'autant que nous ne jouons pas aujourd'hui, je l'ai dit, le « match retour ». J'insiste néanmoins sur un point : dans la loi EGALIM, nous n'avons pas légiféré sur les relations entre la grande distribution, l'industrie agroalimentaire et les agriculteurs. Lors de l'atelier des États généraux de l'alimentation consacré à cette question, nous avions préféré le contrat de confiance à la contrainte législative.