J'ai du mal à comprendre pourquoi l'adoption de l'amendement CE585 a fait tomber le CE144, qui traitait d'un sujet distinct : le recours au droit de préemption non pas pour constituer des réserves foncières d'intérêt public, mais pour réguler les prix du foncier là où l'on constate des phénomènes de spéculation. Cette question a fait l'objet d'un rapport de nos collègues corses et d'une proposition de loi de Jean-Luc Lagleize. Nous en avons débattu dans l'hémicycle à propos des zones touristiques, notamment en Corse, mais cela vaut aussi pour les zones tendues.