L'industrie du futur nécessite de mieux valoriser nos entreprises innovantes. La technopole de Sophia Antipolis, dans le département des Alpes-Maritimes, est l'une des plus grandes d'Europe. Son institut interdisciplinaire d'intelligence artificielle figure parmi les quatre retenus par l'État pour l'attribution d'un label. Parmi les objectifs du plan « France 2030 », le septième est la production de vingt biomédicaments et le dixième, l'investissement dans le champ des fonds marins. Or, au sein de la technopole, une cinquantaine d'entreprises travaillent sur le premier sujet et une des plus belles start-ups, Bio Océan, sur le second. Comment le Gouvernement envisage-t-il d'accompagner plus et mieux Sophia Antipolis, qui est aujourd'hui largement portée par les collectivités territoriales ?
Notre collègue Vincent Rolland, député de la Savoie, dont je me fais le porte-parole, appelle votre attention sur la situation de l'entreprise Ferropem, et plus particulièrement du site de Château-Feuillet dont Ferroglobe refuse la vente. Il souhaite savoir ce que vous comptez faire pour accompagner Ferropem sans sacrifier les salariés de ce site.