Nous n'avons pas l'intention de faire du « café du Commerce ». Nous parlons de concrétisation des lois. Tout cela s'organise. Ce n'est pas spontanément à une permanence de député que nous allons régler la question. Il faut que chacun prenne la mesure du phénomène. Il faut imaginer des réunions sur le territoire avec des députés particulièrement qualifiés ou qui ont le souci de venir, et d'autres qui sont moins intéressés sur cette question et qui seront ailleurs. Il faut utiliser la puissance que peut représenter le pouvoir parlementaire. Nous ne pouvons pas toujours être à l'initiative. Nous avons besoin de nous sentir attendus sur le territoire.