Normalement, le délai est encadré. Il y a une obligation. Il faut revenir vers le parlementaire qui peut relancer le ministère. Nous avons beaucoup de réponses à nos questions. Cela dépend des ministères, il faut bien en convenir, et de la difficulté du sujet traité.
Vous avez une vision très centralisée, mais ce qui nous intéresse, ce n'est pas simplement de se satisfaire de nos auditions, mais d'être sur le territoire avec les professionnels que vous représentez. Pour vraiment tester la concrétisation d'un texte, c'est peut-être moins à l'Assemblée que nous allons la mesurer, que sur le terrain. Là-dessus, nous souhaitons évoluer profondément.