Depuis l'ouverture du dossier de la cession de STX, nous avons mis délibérément l'accent sur l'aspect social de la question, c'est-à-dire les conséquences de cette vente sur le sort des salariés. Or aucun des protagonistes ne s'est prononcé sur l'état des lieux social que nous avons dressé, alors même que l'État, actionnaire de longue date, a sa part de responsabilité dans la situation qui est faite aux salariés sur le site. C'est ce qui a justifié l'avis négatif de la CGT lors du comité d'entreprise.