L'organisation de notre travail demeure dégradée malgré les améliorations apportées par le numérique, dont il ne faut toutefois pas abuser pour le débat législatif. Les interventions à distance sont en effet difficiles et limitent l'interaction. Par ailleurs, le Parlement devrait voir ses missions de contrôle définies pour le temps de crise. Les commissions devraient disposer, de plein droit, de pouvoirs de contrôle sur pièces, pour contrebalancer les mesures d'exception. Enfin, ne limitons pas notre horizon à l'échéance d'octobre.