L'Allemagne semble se mettre en mouvement sur la question du glyphosate. Pourriez-vous, très brièvement, nous faire un panorama de l'état du débat sur le glyphosate à l'échelle européenne ? Cela nous éclairera peut-être sur la façon dont les choses peuvent évoluer politiquement.
Vous souhaitez encourager le développement des techniques alternatives issues du biocontrôle. Je suis moi-même un ardent défenseur de ces techniques. Pouvez-nous dire concrètement comment vous souhaitez accompagner ce développement ?
Je voulais par ailleurs, comme Mme Le Feur, avoir des précisions sur les paiements pour services environnementaux.
Enfin, j'ai assez mal vécu la façon dont l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) a été bousculée, au cours des derniers mois, par différentes polémiques concernant les produits phytopharmaceutiques. Quel est votre point de vue sur l'articulation entre le travail politique qui vous revient en tant que ministre et l'éclairage technique et scientifique apporté par l'ANSES ? Pensez-vous que celle-ci doit encore faire évoluer ses méthodes de travail, ou au contraire que la situation est satisfaisante ?