J'ai bien entendu le message sur la manière dont nous pourrions agir en tant que législateurs pour améliorer les dispositifs existants.
Quel est le périmètre de vos recherches ? Sont-elles concentrées sur des secteurs urbains et parisiens, ou sur des secteurs d'autres grandes métropoles ? Testez-vous les zones rurales ? Percevez-vous des différences ? S'agissant des 18-34 ans, quels sont les déterminants sociaux constatés sur la forte abstention (90 %) de cette catégorie de personnes, notamment aux dernières élections régionales et départementales ? Comment expliquez-vous ces comportements électoraux ? Comment s'articulent-ils avec d'autres formes d'engagement ? Le fait d'être engagé dans une association est-il un moyen pour ces jeunes de développer une opinion et de construire une conscientisation politique plus facilement que par le vote dont ils pensent qu'il ne servira à rien ou qu'il ne sera pas pris en compte ?
Sur les autres modalités de vote, quelles ont été vos recherches sur les populations cibles qui sont les vôtres ? Selon moi, ces modalités ne seront pas l'alpha et l'oméga qui permettront de résoudre le problème de la participation électorale. Il s'agirait plutôt de construire un nouveau parcours citoyen à travers la confiance dans le message politique et une expression utile pour chacun.