est revenu sur la communication de l'Académie relative au port du masque. La maladie se transmet par des gouttelettes de salive et l'usage généralisé du masque serait un obstacle majeur au développement de l'épidémie. On voit donc un hiatus entre la communication politique et la communication scientifique, qui tire son origine du manque de disponibilité des masques. Il faut absolument insister sur l'importance du port du masque – si possible des masques chirurgicaux ou antiviraux, mais à défaut des masques alternatifs comme le précise le communiqué de l'Académie.