Ce sont effectivement des travaux très importants. Bernard Doroszczuk citait l'échéance de 2035. Une partie des travaux sont faits en quatrième visite décennale pour les réacteurs de 900 mégawatts, pour certains quatre ans après la visite décennale, puisque les travaux sont phasés sur deux arrêts, compte tenu de leur importance. Ceci nous amène à l'échéance de 2035. Je rappelle que les vérifications à faire à l'issue de Fukushima avaient été définies par un cahier des charges commun à l'échelle européenne, défini par l'association WENRA. Au regard des autres pays, la France n'est pas en retard, malgré le nombre très important de réacteurs à modifier. Au contraire, peu de pays ont décidé de procéder aux modifications correspondant à ce que Sylvie Cadet-Mercier appelait la troisième phase.